Suissesses en pension et sous tension
Elle hante nos rêves, cette pension suisse huppée où de jeunes Suissesses et autres demoiselles de toutes provenances et d'un même standing rendues impérieuses par le hasard d'une naissance le cul dans la soie... sont dirigées par leurs parents désemparés vers une institution pétrie de rigueur pour avoir réclamé la lune sur tous les tons et avec quelle aigreur.
Faut-il l'imaginer sous la forme d'un hénaurme chalet aux balcons ornés de géraniums, consacré aux classes de neige et vertes, et d'où montent les tralala-ou-tis ? Ou plutôt sous les traits plus sévères de tours crénelées dressant leur masse redoutable derrière les grilles dont le cliquetis sonne le glas de la réclusion, à l'heure où le paradis perdu des vacances s'estompe comme un mirage tandis que monte le concrt des regrets et s'épanchent les larmes ?
Le tout, comme il vous plaira.
Qu'y fait on, faute de potasser les déclinaisons et de buter sur les équations à deux inconnus, quand vient l'heure où les branches noires et dénudées des trembles qui en bordent le jardin clos tendent leurs doigts effilés sur le clavier scintillant des étoiles ?
Sinon se recroqueviller dans les bras d'une inconnue hier, gros loup aujourd'hui, pour lui chuhchotter tous ses plus récents malheurs petits et grands, tandis qu'elle calme d'un baume inattendu et avec une ingéniosité inespérée la solitude dans laquelle l'on se trouve récluse, tout assoiffée des calins maternels qui mettent un point rouge sur l'i du mot baiser.
Consolations interdites ? Secret précieusement gardé, trésor de tendresses dont la source ne doit pas être tarie, puisqu'elle coule d'enthousiasme, on le constate à l'usage. Puisque son ébruitement éveillerait les rigueurs, ferait sortir les griffes acérées d'une institution où l'on ne badine pas avec l'amour. Où l'on entend guère voir ces demoiselles prendre un acompte sur les voluptés qui sont la juste et alléchante contrepartie d'un mariage bien conçu et dont la virginité fait monter l'enchère conjugale.
Et ce sceau du secret les fait soeurs de sang par la rigoureuse fouettée, la courroie, la redoutable baguette appliquées in camera et à posteriori n'en doutez pas, qui sanctionnerait la divulgation de ces écarts. Il fait encore mieux frémir quand vient le moment de les commettre. Quand une petite amie pénètre à pas de loup dans votre chambre pour vous sommer de vous commettre ou de vous démettre en brandissant sous votre nez le billet doux qui dit tout. Quand une biche, morte de cusiosité et dont les cuisses tremblantes fléchissent déjà, cède aux splendeurs fugaces, uniques d'un premier déculottage à l'arrachée, d'une mise à nu initiale, nuptiale, fulgurante, celle que l'on ne vivra plus jamais avec la même amante, pour lui avoir offert sur un plateau d'argent comme une virginité du coeur, tandis que sa main experte et rompue à l'exercice farfouille, s'active, s'affaire à dénuder un fort joli cul. Elle le parcourt d'abord de la prunelle. Puis le recueille entre ses doigts déployés comme ceux d'une pianiste et lentement, empoigne les miches jumelles qui se bombent pour mieux accueillir les pétrissements et se dandinent complaisamment tandis que les lombes, le ventre rond, la taille souple amorcent leur balllet calin.
Quelques giffles légères, aériennes, tendrement appliquées côté cour et côté jardin rappellent, évoquent les funestes conséquences de la faute à l'instant où elle est commise, comme pour pimenter encore mieux les friselis qui parcourent l'entrecuisse et aguichent le puits du sexe fleuri. Et cette évocation de la rigueur scolaire éveille tout à fait les regards qui, par dessus l'épaule se cherchent, se croisent, s'alignent et plongent jusques au fond des coeurs délovant les replis d'une irrésistible impulsion qui ne demande qu'à se révéler. Car la chair jusque là récluse et solitaire, qui chuchotte et couine ses premiers accents, ses ardeurs initiales, ne rêve que de hurler, de se montrer telle qu'elle est : adorablement sauvage. Tandis que ce simulacre de dressage fait monter la marée des rêves au coeur de notre princesse, un index, un majeur agiles font leur apparition, amorcent leur va et vient tout le long des lèvres déjà gorgées et lustrées du sexe féminin, que fixe le regard fasciné de sa complice. Car cet amusement jusque là confiné sous l'édredon se montre désormais au grand jour, ce qui en décuple les délices.
Et tandis que l'aller- retour s'accélère, que le souffle devient plus haletant, que les cuisses s'écartèlent et se crispent, que les genoux creusent les moelleux coussins de la causeuse, que la course du temps semble suspendue, que monte la déferlante rageuse d'une incoercible impulsion, nos renardes ne remarquent pas que... derrière elles, la porte s'entrouvre dans le déclic à peine perceptible du loquet, que par l'interstice un oeil d'aigle repérant sa proie se pose sur leur chair rose et les fusille.
1 Comments:
ben moi je suis un algrein kabyle et je suis un homm de 26 ans et je chercher fair des filem esxe avec des filles et aussi pour sa mezi avec elle bien sur voila j'aime bien bizzzzzzzzzzzzz
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