Présentation
Allon-z-y... Alonzo !
Pseudonyme
André Martinet. Pourquoi ? C'est notamment le nom d'un linguiste connu. J'ai estimé qu'il exprimait mes préférences intimes. Une hirondelle ne fait pas le printemps, mais un martinet...
Année de naissance
Les fifties. L'ère du Rock'n'Roll. Vous avez vu American Graffiti ?
Ville / région /pays
Montréal, Québec, Canada. Mon pays, c'est l'hiver. Heureusement que les coeurs et les popos sont chauds.
Profession
Conseiller en rédaction et traduction. Le business. The Word Factory. Ce qui me change de ma prime jeunesse où j'oeuvrais jadis gratis pro deo dans la littérature, l'accent étant mis sur ratures. Les études répondent à deux interrogations : « Pourquoi ? » et « Comment ? ». « Pourquoi ? » ce sont les lettres, la philo, etc. Le vrai sens de la vie. « Comment ? » c'est le business. Comment mettre du beurre dans les épinards en facturant net 30 jours un produit ou un service de qualité répondant à une demande solvable et constante.
Description physique
1 m 60 et tant... (5 pi 6 po), carrure moyenne. Un bon ours. Châtain. Lunettes. La binette de Tintin, les attitudes d'Anthony Hopkins dans -- pas Hanibal le cannibale -- mais plutôt The Edge... ou Shadowlands. Ou peut-être The Human Stain (La couleur du mensonge) ? Non. Y'a pas de mensonge au coeur de ma vie. C'est WYSYWYG. What you see is what you get.
État civil
Célibattant et ravi de l'être. Jamais plus je ne signerai un de ces contrats qui permet à votre douce moitié de faire main basse sur... la moitié dudit patrimoine familial au fil de ses soubresauts d'humeur. Même s'il n'y a pas d'enfants. Même si elle travaille à peine et se livre à des études de haute volée présentant un caractère purement spéculatif, tandis que vous assurez l'intendance qui proverbialement suivra en ramenant le fric qui ne pousse pas aux arbres. Et faites la cuisine deux fois sur trois. Et rédigez 200 pages de sa thèse de doctorat qui n'avançant guère fera long feu. Et photocopiez 4 000 pages de documentations diverses à même fin. Votre crime ? Les bidous, il faut les gagner en galérant 45 heures par semaine. Vous n'êtes donc pas suffisamment dis-po-nible. Imaginez-vous donc. Vous avez un condo. Il aurait fallu à Madame un pavillon de banlieue pour mieux servir de caisse de résonance à ses tirades sur Bourdieu. Voilà. La chose est dite. Et faite depuis longtemps.
Depuis quand fantasmez vous sur la fessée ?
La petite enfance. Avec passage à l'acte au bout du quai de mon père où j'adorais saisir les fillettes, lors des ébats de la baignade, encercler leur taille souple et ronde du bras et claquer leurs jolies cuisses lustrées, leurs fesses dansantes, crispées, mignonnes et dodues sous le maillot aussi moulant que possible. Elles se livraient parfois avec une complaisance bien réelle à cette empoignade coquine et rigolarde. Que dire des échos de semonces démonstratives fusant d'une lucarne, et qui pouvaient marquer l'approche de la rentrée entendues furtivement, tapi dans un bosquet ? « Devrai-je aller chercher la règle !? » Ah les beaux jours.
Comment avez-vous pris conscience de ce fantasme ?
Il s'est emparé de moi dès le plus jeune âge avec une belle violence. Nu sous la douche d'un pensionnat, ruisselant sous le jet, baignant dans la vapeur qui monte, vous vous êtes déjà incliné juste ce qu'il faut pour mettre votre derrière tendre rose et juvénile au contact du tuyau à eau chaude en cuivre... et à l'instant où son baiser brûlant mord, vous rêviez que la directrice vous flagellait le cul avec une amoureuse rigueur en vous turlupinant le mignonnet ? Quant au compas dormant innocemment dans mon coffre à crayons, il ne servait pas non plus qu'aux leçons de géométrie. Le film La secrétaire nous a tout récemment révélé avec humour et esprit ces penchants particuliers.
À treize ou quatorze ans, correctement tenaillé et aiguillonné par ce cinéma mental depuis une décennie, je me pointe à la Bibliothèque municipale dont les colonnes corinthiennes font face au parc Lafontaine. Temple du savoir érigé devant un espace vert boisé et hâvre de paix portant le nom d'un premier ministre artisan de l'union du Haut et du Bas Canada. Je fouille dans les fiches sujet, remets une liste de quinze titres triés sur le volet à la préposée qui pose sur moi un regard inquisitif sans être inquisitorial. Dix minutes plus tard, elle me remet les dits volumes. Après deux heures de lecture, j'étais fixé.
Qui dans votre entourage (hors Internet) connaît votre fantasme ?
Diverses partenaires toutes consentantes. Une ex qui a fait l'essai de ces voluptés sans y prendre goût. Pour m'agonir d'injures scabreuses quand survint la rupture. Ces préférences intimes aussi entêtantes que possible peuvent infléchir secrètement le cours d'une vie. On divulgue ce secret à ses risques. À bon entendeur.
Qu'est-ce que vous attire le plus dans la fessée ?
L'exercice d'une réelle autorité ludique et érotique. Un échange de pouvoir, comme au judo. Pas à la boxe ! La prise en main visant à conduire par l'oreille la demoiselle sur les chemins de l'excès qui mènent au palais de la volupté. Tout dans ce jeu est bien sûr de convenance et la fiction est menée comme une commedia del arte par les partenaires qui jouent sur canevas. Comme l'amoureux partage de la volupté est le but de l'exercice, les rigueurs doivent alterner avec un concert de câlins aussi impudiques et adroits que possible qui concernent non seulement les miches coussinées, mais aussi le bouton de rose, le buisson ardent, la corolle de l'orchidée en splendeur, le puits des délices et la perle du trésor. Sans parler du troumignon.
Il ne s'agit pas de faire souffrir mais de saisir par le chignon du cou et la peau du cul... une partenaire complaisante, à laquelle on porte une authentique tendresse, afin qu'elle se lâche la bride encore mieux, afin de la dresser à jouir, de la révéler à elle-même charnellement et de l'amener par bonds et par degrés à se livrer tout entière à l'impudeur sous contrainte. Paradoxe quand tu nous tiens.
Ces jeux sont sans doute l'ultime tabou de nos socio-démocraties soucieuses avant tout de la sacro-sainte sécurité, d'une quiétude rassise que rien ne doit troubler. Ils constituent un affront à la rectitude politique et aux diktats du féminisme vigilant, militant, triomphant. Cette impudeur volontairement ardente et pimentée doit se vivre dans la discrétion si l'on ne veut par éveiller des frayeurs indues et être livré à la vindicte des croquants... car ça les étonne, les étonne... de voir qu'une belle fille comme ça s'abandonne, s'abandonne au premier ostrogoth venu. Les croquants, ça tombe des nues !
Qu'est-ce que vous attire le moins dans la fessée ?
Une vulgarité bordelesque qui trivialise l'érotisme. Les rapports ancillaires. Un peu courts, jeune homme. La vacherie. L'égoïsme ou pire au lit. Je récuse la chair sans amour, sans tendresse, sans à tout le moins l'engagement d'une fervente et responsable amitié. Le libre consentement des intéressé(e)s et la volonté de faire honneur à la confiance accordée sont pour moi au coeur de cette autre façon d'aimer. Bref, je préfère qu'il y ait de la philosophie dans mon boudoir quand Sophie, bourreau de mon coeur, s'y pointe, les soirs de grande impudeur.
Y'a-t-il un scénario particulier qui vous fait fantasmer ?
Je suis un proviseur, un tuteur exerçant une légitime autorité in loco parentis. Ma partenaire -- majeure, faut-il le dire pour éviter les affolements -- est une écolière, une couventine, une pupille au tournant du siècle, une demoiselle polissonne, paresseuse, un tantinet insolente, fervente de lectures interdites aux lieux d'aisance, lubrique et déchaînée dans le secret de sa chambre. Maman ! Bref, un cochonnet adoré dont les galipettes, les désobéissances, les petits vices appellent une éducation aimante, mais ferme et l’amènent plus souvent qu’à son tour dans le bureau du directeur, dans mon étude, dans sa chambrette… où doit être appliquée la sanction magistrale et traditionnelle, en toute rigueur, en toute tendresse, la main nue, la règle de conduite, la baguette ou le martinet étant mis à contribution avec science et mesure, au bénéfice de ses fesses dénudées, adorables, frémissantes et délicieusement affolées.
A quand remonte votre première fessée ?
La vingtaine. Voir ci-dessus, en ce qui concerne les fessées administrées... celles intéressant la situation inverse étant hors sujet.
Depuis lors, à quelle fréquence donnez-vous la fessée ?
Tout dépend si j'entretiens des relations suivies avec une amante.
Toujours avec la même partenaire ?
Idéalement, ces batifolages se vivent dans le cadre d'une relation à long terme permettant de mieux connaître l’autre sous tous rapports, donc d'oeuvrer en connaissance de cause à son bonheur et à sa volupté.
Quelle place occupe aujourd'hui la fessée dans votre vie ?
En comparaison d'une réalisation professionnelle ou d'une contribution à la collectivité, d'un engagement communautaire, par exemple, je ne crois pas que cet amusement, cette pratique présente en soi le caractère d'une priorité, parce qu'il ne sollicite pas, comme tel, les principales facultés de l'esprit et du coeur. Par aileurs, si je vis une relation amoureuse avec une personne partageant ces propensions, son bonheur, donc son bonheur charnel, son épanouissement, sont pour moi prioritaires. Ils relèvent de mon engagement. Et c'est dans ce cadre que la fessée revêtit tout son sens... et toute son indécence. C'est alors que ce langage du corps devient celui du coeur.
Avez-vous déjà donné une fessée en public ?
Ces élans doivent se vivre sous le sceau d'une distrétion bien conçue. Ils constituent l'ultime relation sexuelle procurant le frisson de la clandestinité.
La fessée idéale et la position idéale
Toutes. Pourvu que le popo de la demoiselle soit correctement cambré, sur ordre.
L'instrument idéal ?
J'affectionne un fouet constitué d'un mince tuteur de bambou à l'extrémité duquel sont fixés deux fins lacets de cuir. Assez long, léger, l'instrument siffle et fait frémir la chair dodue qui se présente à lui qu'il strie superficiellement comme du papier à musique, mais ces rigueurs sont oubliées si on lave le popotin fustigé avec une serviette bien chaude. Ce n'est pas une préférence exclusive. Un bouquet plus fourni de lanières permet de varier les rigueurs. La règle et une fine baguette anglaise peuvent également être mises à contribution pour ramener dans le droit chemin une élève. À noter que la main nue est irremplaçable pour conjuguer rigueurs et voluptés. Divers onguents mentholés et camphrés peuvent servir de chaleureux adjuvants. Un gode vibrant procure un supplément de formation et inculque le goût de la rectitude.
Le lieu idéal ?
La salle de bains où je donne sa douche à ma pupille avant de l'emmailloter dans six serviettes chaudes et de la conduire par la main ou par l'oreille dans la chambre à coucher, lieu d'exécution des hautes oeuvres où elle sera dénudée, d'un coup, comme un chef d'oeuvre à l'instant de sa présentation à la critique.
Le moment idéal ?
Lors de la mise au lit. Soit à toute heure si la fautive doit garder la chambre pour sa pénitence.
La tenue idéale ?
Chemisette à col Claudine, jupe écossaise plissée, bas aux genoux, escarpins... ou un chaleureux pyjama orné d'oursons. Le pyjama à pattes avec abattant à posteriori n'est pas dépourvu de charme non plus.
La conclusion idéale ?
La réconciliation éperdue de tendresse. J'embrasse son front, ses paupières, ses joues baignées de larmes, je lui fais promettre qu'elle sera désormais sage comme une image, ma main empaume et caresse ses fesses maintenant bien chaleureuses et si sensibles, s'immisce dans l'entrecuisse... vous devinez la suite.
Préférez-vous les fessées érotiques ou punitives ?
Érotiques. À l'extrême limite, si une amante me trompait insolemment et voulait me revenir, il n'est pas impossible que j’aie recours à une fessée véritablement punitive. Mais il faudrait que l'erreur soit gravissime. Que le châtiment soit mérité dix fois plutôt qu’une. Qu'elle convienne de cette condition au rétablissement de nos rapports. L’instrument adéquat et le nombre d’applications seraient prévus d’avance. Elle devrait en décliner le décompte. Voilà la fermeté bien sentie de l’école de réforme. À cette unique exception près, je n'aime pas exercer un pouvoir contraignant sur quiconque, sauf par jeu et dans le cadre d’une simulation qui revêt le caractère d’un théâtre sexuel.
Préférez-vous les fessées prévues à l'avance ou les fessées improvisées ?
Comme je ne cohabite pas en couple, elles sont, par nécessité, appliquées à l'heure dite, soit quand mon éventuelle petite amie se pointe pour sa leçon particulière.
Après une fessée, faut-il envoyer la jeune fille au coin ?
Pour qu'elle fasse preuve du repentir souhaité et baise les verges à genoux avant que le pardon lui soit accordé. De tradition. D'autorité.
Pour vous, la fessée est-elle une fin en soi ou un élément dans un ensemble de pratiques ? Lesquelles ?
Pour moi, une soirée de discipline amoureuse est avant tout une soirée.
Prise de contact ? Tout est beau, propre, bien tenu. Mon amie, ma pupille est reçue avec une amicale cordialité. J'apprécie les arts de la table et l'hospitalité. En qualité de soumise, elle est appelée à devenir mon élève, mais d'entrée de jeu, je suis son hôte. Je lui propose un choix de canapés, de bons vins. Des sushis, ou, selon la formule dont nous avons convenu, un repas (légumes grillés, saumon au four, ou poitrine de poulet aux champignons). Au dessert salade de fruits (fraises et mûres) bonifiée au Triple Sec ou au Cointreau et biscuits fins au chocolat noir.
Nous parlons. Nous parlons d'elle et de moi. Je tenterai de bien la connaître, de savoir tout de son intimité, de ses désirs les plus cachés, les plus intimes, de ses espoirs et attentes. Je serai à son écoute. En qualité de maître, je dois, bien sûr, tout savoir sur un aspect de sa vie que ne sauraient sans doute imaginer ses parents ou ses proches. Je le dois pour mieux la combler. Et ces aveux détaillés, explicites, tendrement sollicités, ou obtenus sur un ton plus ferme selon ses préférences, sont un premier aspect de sa prise en main, d'une éducation correctement amorcée.
Nous pourrons échanger au sujet de la situation politique au Québec -- mélange instable de somnolence hivernale et de susceptibilité vexée -- , de l'Irak -- dernier merdier sanglant en date --, des Poupées Russes de Klapish, de Babel d'Alejandro Gonzalez Inarritu, de tous les autres sujets qui présentent un intérêt pour elle. Une relation explorant notamment l'érotisme de la fessée ne saurait être monomaniaque.
Au dessert, une possibilité parmi d'autres, nous passons au petit salon qui me sert de salle télé. Elle pose son turlututu sur la causeuse. Je lui proposerai, si la chose l'intéresse, un choix d'illustrations réunies sur Internet et qui concernent la discipline réservée à une jeune fille dont l’éducation et le comportement laissent à désirer. Je l'amène à les décrire dans le détail : les sentiments, les sensations, l'état d'esprit de la demoiselle qui se voit contrainte d'assumer les conséquences de ses actes. Je lui montre un choix de textes -- courts tableaux coquins, lettre récemment reçue de la directrice et qui la concerne, contrat de tutelle qu'elle sera appelée à signer un jour. Nous procédons à un petit exercice de lecture à haute voix. Comment se présente sa diction ? Rend-elle l'intelligence des textes ? Dois-je la pygmalionniser ?
Cinéma, cinéma, nous regardons un choix de films comportant des scènes où le recours à la discipline est illustré (Histoire d'O, Lady Jane, Adieu ma concubine par exemple). Un cinéma de bonne tenue et qui illustre, notamment, la rigueur. Ayant pris place à côté d'elle, je sollicite ses commentaires. Alors vient le moment des travaux d'approche qui amorcent sa prise en main...
Cette leçon peut également se donner devant l'ordinateur où les illustrations se succèdent à l'écran comme dans une présentation de diapositives. Voilà l'informatique mise au service de la pédagogie. L'alternance entre les voluptés et les rigueurs illustrées donnera à ma pupille matière à réflexion. Et me fournira l'occasion d'approfondir l'interrogatoire sur sa conduite et son inconduite récentes. Elle est assise devant l'ordi, les illustrations se succèdent, sans trivialité aucune mais délicieusement explicites, tentatrices, osés. Je me tiens debout derrière elle, je donne ma leçon, j'interroge en caressant sa nuque, ma main effleure le bout de ses seins. Nous passons aux morceaux choisis sur Real Player repiqués dans le Net.
Pour cette séance, quand nous nous connaîtrons mieux, elle se présentera en chemisette, sans soutien-gorge, éventuellement sans petite culotte. Je la veux disponible, un rien fragilisée, tout offerte. Si elle me fait des aveux qui justifient de passer à l'acte, ce sera le signal convenu, je peux la prendre par la main -- ou par l'oreille -- pour la guider, en la morigénant, jusqu'à la salle de bains, tout ambrée et baignant dans la lumière de six lampes. Chapelle ardente. Le jeu en vaut la chandelle.
Passions, hobbys
Lecture et écriture. Ski de fond, cyclotourisme, kayak, visite de musées.
Groupes ou chanteurs favoris
Enya
Albums favoris
Nocturnes de Fauré
Chanteur ou chanteuse que vous aimeriez fesser ou par lequel vous aimeriez être fessée
Pour obtenir des arias, des crescendos, des vibratos bien sentis ?
Réalisateurs favoris
Fellini, Zefirelli, Kurosawa, Kobayashi, Ridley Scott
Films favoris
8 1/2, Ran, Les sept samuraï, Histoire d'O, Aliens II, Black Hawk Down, Kingdom of Heaven, Les palmes de Monsieur Schultz, La vie et rien d'autre, Le violon rouge, Les poupées russes, Babel.
Acteur ou actrice que vous aimeriez fesser
Juliette Binoche
Ecrivains favoris
Jean-François Revel, François Furet, Irene Némirovski... et tant d'autres
Romans favoris
Lord Jim, Joseph Conrad… et certaines œuvres plus croustillantes dont je ne citerai pas le titre.
Personnage de roman que vous aimeriez fesser
Frank, dans « Frank and I ». Un classique de l’érotisme victorien.
Sculpteurs favoris
Rodin. Inconditionnellement. L'esprit dans la chair. Le marbre qui palpite.
Six mots pour décrire votre personnalité
Courageux, responsable, travailleur, compatissant, irrévérencieux, sensible
Vos craintes
Tous les fanatismes : inquisitorial, national-socialiste, stalinien, islamiste ... toujours les mêmes salades. Les mêmes meurtrières imbécillités. Les fruits amers de la paranoïa collective suscitée par des hystériques. La faute originelle de la peur.
Vos névroses
Y'en a pas, y'en a point, y'en a guère
Vos ob-ses-sions
Je n'ai que des préférences intimes, très cher. Et des idées forces.
Votre plus grande qualité
La passion du bonheur d'autrui
Votre pire défaut
Remettre à plus tard le règlement de mes factures... et à ce chapitre, il faudrait sans doute qu'une nounou britannique, compréhensive mais ferme me ramène dans le droit chemin.
Quelle serait la plus belle chose que l'on puisse vous dire ?
« Tu es passé maître de ton art, tu connais ton métier à fond. Tu offres un service de qualité. »
Quelle serait la pire chose que l'on puisse vous dire ?
« Irresponsable ! »
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