À l'ombre des jeunes filles en fruit

Quel charme trouble dégagent ces demoiselles parvenues à maturité et dont les comportements appellent encore des mesures que l'on croirait être le fait de la prime jeunesse ! Un éducateur expert saura conjuguer tendresse et rigueur à leur bénéfice et voilà ce qui fait l'objet de notre réflexion.

3/16/2007

Chantal... dans sa splendeur ! - Prise I



Voyez-la, livrée et offerte sur l'autel d'amours toutes particulières. Admirez la profonde médiane, la raie du cul bien largement ouverte, à l'horizon de la croupe épanouie qu'elle fend tandis que la demoiselle rend hommage à l'homme auquel elle a choisi de se livrer flambant nue. Caressez du regad le bombé avenant des hanches, le retroussé des lombes et des reins s'articulant sur la taille gracile pour mieux se creuser, le tendre et rose sillon de la colonne vertébrale, les épaules qui se déploient, les bras potelés, les doigts maintenant sages, agiles et déliés de nuit... la crinière brune, bosquet sauvageon où l'on voudrait faire courir amoureusement ses doigts avant de l'empoigner manu militari, à pleine main.

Gageons que les aventures de la coquine aviveront notre curiosité dans les jours qui viennent. D'autant plus que cette élève a la tête bien faite et assez pleine merci, apprécie notamment Krishnamurti et aspire à maîtriser l'art de l'écriture... la règle grammaticale devant sans doute être appliquée à posteriori lorsque la copie rougit de honte. Si elle convient de s'inscrire en pension, d'apposer sa signature au contrat de tutelle, son pseudo sera Enya.

À suivre. Car renseignement pris, après un jour et une nuit de déchaînements complices, un échange de vues aussi pertinent que possible lors du petit déjeuner des champions et des championnes et une étreinte caline nous lovant l'un dans l'autre à l'heure du départ... tout l'être résonne comme un gong jusqu'en fin de soirée.