À l'ombre des jeunes filles en fruit

Quel charme trouble dégagent ces demoiselles parvenues à maturité et dont les comportements appellent encore des mesures que l'on croirait être le fait de la prime jeunesse ! Un éducateur expert saura conjuguer tendresse et rigueur à leur bénéfice et voilà ce qui fait l'objet de notre réflexion.

1/03/2007

Aimer... c'est créer des liens



Il était très attachant et elle se trouva fort attachée. Comment se délovera le noeud gordien de cette paradoxale intrigue ? Les cris de haine qui sont les derniers mots d'amour trancheront-ils la question ? Faut-il être Saint-Ex, patron des aviateurs qui ne rêvent de s'envoyer en l'air sous une bonne étoile pour le deviner ?

Il arrive qu'une knotty girl doive être contrainte et restreinte, dans l'intimité de l'alcôve et du foyer, si sa conduite, son attitude laissent à désirer. Devant les premiers accents d'une insolence cabocharde, le détenteur de la légitime autorité auquel elle répond de ses actes est tenu de marquer le coup et lui donner l'heure juste. Il y gagnera alors à prendre immédiatement des dispositions permettant à la fautive de mesurer toute la gravité de la situation... ce qui épargnera à l'éducateur le recours à des moyens plus affirmés ne figurant pas au nombre des ingénieuses ressources de l'amour.

Est-ce donc si cruel d'amener une chipie maussade et rageuse à présenter avec une franchise toute radicale un cul, les charmes, séductions et ornements d'une entrecuisse qu'elle ne rêve que de dévoiler pour mieux suborner et subjuguer le mâle ? Est-ce indigne de couper court aux faux-fuyants, aux hésitations fictives et convenues d'une danse des sept voiles en dénudant à l'arrachée et en astreignant d'une main sûre par des liens noués avec toutes les finesses de l'art la coquine... afin de parvenir tout de go, d'entrée de jeu et d'autorité, au résultat obligé de son insidieux manège ?

Chez une demoiselle dissipée, le piquet favorise un approfondissement de la réflection tout en sollicitant les souvenirs doux-amers de la petite école, du pensionnat. Nez contre le mur comme si elle faisait zazen, elle présente les fesses, contrainte juste ce qu'il faut par un harnais dont le cuir noir clouté corsetant sa taille, harnachant sa croupe, orne sa féminité. Voilà une pupille qui offre l'image même du repentir et s'adonne à la méditation transcendentale dans une position aussi inattendue que charmante.

Suffira-t-il de l'inviter à embrasser passionnément le bois franc de la férule pour qu'elle fasse amende honorable ? Ou faudra-t-il appliquer l'instrument verni, lustré, blond, dont la mince palette ne demande qu'à s'envoler et dont l'ample surface incurvée comme une pagaie permettrait de claquer tout entières et aussi allègrement que possible les fesses... que cette lapine prise au collet de sa passion secrète nous tend en une magnifique révérence ?

Constatez comment le harnais embellit, recto-verso les charmes d'une pénitente qui attend, sise sur son strapontin et son popotin, le verdict de l'éducateur. Admirez le déploiement et le bombé du torse dont la perfection est mise en valeur par la contrainte, imaginez comment la tête révulsée laisse se délover jusques à la saillie des reins la cascade de la crinière qui l'orne. Convenons que l'oeil de la caméra a saisi l'instant du prononcé de la sentence. « DIX COUPS DE CANNE ! »



Des poignets artistement liés livrent à la discrétion d'un bien aimant tout le corps d'une bien aimée. Plus particulièrement si sa pudeur de couventine, si des préjugés absurdes portent la demoiselle à refuser obstinément de se faire lécher la chatte. Voilà l'occasion pour un amant d'exercer au sein du couple une autorité domestique bien conçue afin de vaincre au plus vite cet entêtement répréhensible et de peaufiner l'éducation de la femme de son coeur.

Sans doute la formation pourra-t-elle être bonifiée en bandant les yeux de la candidate, ce qui la précipitera mieux encore dans les délicieux vertiges qu'elle s'entête à ignorer.

D'abord survient l'ordre viril d'écarteler largement les cuisses. Et tandis que les paumes appliquées sur leur flanc intérieur si tendre, tout près de leur point de jonction si tendu, si tentant, accentuent encore cet écart qui n'est point gravissime, le souffle de l'amant gratifie d'une brise fraîche tout cet émouvant paysage charnel que le tuteur parcourt et savoure du regard.

L'amant saisit à belles dents le sexe goûteux. Mobile comme l'aile d'un papillon, le turlututu d'une fée se trémoussant dans un rêve impudique, sa langue exercée cherche d'abord la perle des splendeurs qui couronne la commissure supérieure du sexe. Elle déniche cet inestimable trésor et le dégage de l'alvéole, du bosquet où il voudrait bien se cacher, car il n'a jusqu'ici connu que les prestations sans doute moins aériennes mais tout de même déliées d'un index fort adroit.

Embouchant tout le sexe l'Homme pourlèche puissamment d'un somptueux aller retour et sur toute sa longueur sa merveille florale dont les pétales charnus et plissés se déploient pour lui ouvrir la voie du puits musqué qui rend déjà son suc... témoignant du fait que l'élève prend bonne note de la leçon si puissamment inculquée malgré les protestations qui fusent... que la pouliche correctement dressée s'apprête à faire le saut dans l'inconnu. Pour l'y propulser, il ne manque que la piqûre de l'éperon : un pinçon délicatement appliqué du bout des ongles, sur la droite et la gauche, au pli de l'aine. Une hirondelle ne fait pas le printemps, mais un pinçon...